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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGiYÉ. 175

de Port-Royal, V, 160. Corbinelli dit que son Traité de l’amour de Dieu est aussi spirituel que les œuvres de sainte Thérèse, IX, 199 et 200. Le maréchal de Villeroi, parce qu’il avait diné plusieurs fois avec lui, ne pouvait pas croire qu’il fût canonisé, IX, 38o.– Bussy croit devoir à son intercession sa patience et sa résignation, IX, S97.

Françoise homaike (sainte), fondatrice de la congrégation des Oblates. Mme de Maintenou porte son costume dans un portrait que Mignard vient de faire d’elle, X, 208.

FK.vsç.orsE filleule de Mme de Grignan. Elle entre comme cuisinière chez Mme de Sévigné, VI, 110.

Frangipaki (François-Christophe comte de). Son supplice à Vienne, II, 234 et a35.

FRANKENDAL (la ville de) VIII, 3o3, 3ri. Cette place s’est rendue àla vue du canon, VIII,

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Fbazé, dans le Perche. D’Hacqueville y va annoncer à la maréchale de Gramont la mort de son fils, le comte de Guiche, III, 3o3 et 3o4.

Frédéric Barberoosse empereur d’Allemagne. Le château de Grignan était une placedont il inféodait les gens, LX, 3g3 et 3g4.

Frédéric-Guillaume, électeur de Brandebourg, père de Frédéric III, qui suit. Il a, dit-on, chasséles Suédois d’Allemagne, et peut se joindre à nos ennemis, V, 492; il n’est pas, répond Bussy, aussi avancé qu’on le croit, V, 494. II fait difficulté d’accéder à la paix, et va faire faire à bien des officiers

un voyage en Allemagne, V, S3i et 53a., 533.

Frédéric III, fils du précédent, électeur de Brandebourg, et plus tard premier roi de Prusse. Nous sommes en guerre avec lui, VIII, ig4- Il bombarde Bonn, IX, i56 et i57.

FRÉrtrs (la ville de), VI, 3o5. FflÉrus (l’évêque nommé de). Voyez Bouklemont.

Freluquet. Voyez Valbelle (l’abbé de).

FmLmoht ( Nicolas de), seigneur d’Auneuil, garde du trésor royal. Il marie sa fille au maréchal de Lorges, IV, 385. Frémohts (les), X, 35g et 3Go et note 4.

Fbémov COURCELLES. Voyez CoUKCEtLES FllÉMOY.

Feémyot (Mme), Marguerite de Berbisy, mère de sainte Chantal, VIII, 447,

Frém yot ( Jeanne-Françoise j Voyez Chantal (la bienheureuse Jeanne-Francoise Frémyot, dame de Rabutin).

Fbem yot (Claude), président au parlement de Bourgogne, cousin germain de sainte Chantai, 1,555, 557; IV, 294 et 295.IL laisse, en mourant, du bien à Mme de Sévigné, I, 553. Affection et reconnaissance de Mme de Sévigné pour lui, I, 554. Comment elle a arrangé l’affaire de cette succession, V, 320, 357.

FfiÉanroT (Mme) veuve du pré, cèdent, plus tard remariée au président Baillet, V, 320. Plaisanterie de Bussy sur son compte, I, 553; Mme de Sévigné continue la plaisanterie, I, 554. Mme de Sévigné veut s’accommoder avec elle (actuellement Mme Baillet) pour la part qui lui revenait