Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/212

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ao6 TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE

Comte

de Grignan.

à Colbert, V, Sy. Il passera ses soirées à Paris chez Mme de Saint-Géran, V, 77. II aurait dix demander la se’néchaussée de Grasse, V, iS4- Ses plaisanteries sur ses prétendues maîtresses, V, aa3. Rouville parle de lui avec estime et respect, V, 281- Les eaux de Vichy seraient bonnes pour lui, V, 326, 328. Le duc de Vendôme est disposé à le croire sur tout, V, 827. Comment Mme de Sévigné compte le loger chez elle, V, 377. Sa femme lui témoigne le désir de le voir venir à Paris (1677); elle lui parle -de lettres de marquisat qu’elle ne peut lui envoyer, et j de la vente d’Entrecasteaux, qui se trouve retardée par la paresse de l’abbé de Grignan, V, 3g3. Ses projets pour le temps qu’il va passer à Paris, V, 3g8. II y arrive (1678) et se trouve obligé d’en repartir aussitôt, V, 411. Mme de la Fayette veut l’aider à devenir chevalier de l’ordre du Saint-Esprit, VI, 58. IL serait obligé de faire le voyage de Paris, s’il obtenait le cordon bleu, VI, 74. La Rochefoucauld, Mme de la Fayette, Langlade ne négligent aucune occasion de le servir, de le faire revenir à Paris, VI, 84, 99, 117. La dis- grâce de Pompone l’étonnera beaucoupj VI, 93. Mme de Mesme dit de lui des merveilles, VI, 112. Il devrait écrire à Mme d’Effiat, nommée, dit-on, gouvernante des enfants de Monsieur, VI, 124 et 125. Son malheur en toutes choses, VI, i52. At- tention obligeante de la Ro-

chefoucauld pour lui, VI, 1S7. Le prince de MarsilJac le servirait certainement, s’il venait le lui demander en personne, VI, 204. Mme de Sévigné voudrait qu’il pût succéder au maréchal de Luxembourg dans la charge de capitaine des gardes; conseils qu’elle lui fait donner à ce sujet, VI, 219 et 220. Manière plaisante dont Mlle de Montgobert témoigne de son respect pour lui, VI, 2S8. Nombreux compliments qu’on lui envoie à propos des nouvelles dignités que viennent d’obtenir deux de ses frères, VI, 274, 276. Si on le traitait aussi bien que ses frères, il obtiendrait une belle place, VI, 274. Mme de Sévigné souhaite que les faveurs dont ils ont été l’objet en annoncent d’autres pour lui-même, VI, 281 et 282, 292, 489. Couplet de Coulanges sur lui et ses frères, VI, 342. II est, dit-on, amoureux sans le croire, et donne de la jalousie à sa femme, VI, 299, 300. Plaintes sur son manque d’ambition, VI, 3o2-3o4, 817 et 3i8. Ses lettres ne pourront être remises à Marsillac que lorsque celui-ci sera un peu consolé de la mort de son père, VI, 3i3, 33.1. Il devrait mettre tous ses soins à revenir à Paris avant l’hiver (1680), VI, 337. Lui et sa femme ont appris le commerce de l’amitié à Mme de Vins, VI, 547. H veut qu’on ménage ses perdreaux, VII, 36. Mme de Sévigné voudrait bien lui voir la charge de premier maître d’hôtel du Roi, devenue vacante par la mort de San-