Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/213

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. ao-j

guin, VII, 63 et 64. Court voyage, contrariant*, fatigant et coûteux, qu’il est obligé de faire (1680) à Marseille et à Toulon, VII, 94, g8, 104. Coulanges vient le voir à Grignan, VII, io5. > II est reparti de Paris pour la Provence (1682), VII, 190. Son retour à Paris (i683), VII, 207, 2o8. Il y est mal logé, VII, ai3. Procès qu’il a en Languedoc, VII, a65. Il y avait, ce semble, une assez grande froideur entre lui et le Coadjuteur, VU, 3 16. L’année qui commence (168S) est fort importante pour ses af- faires, et sa présence à Paris sera bien nécessaire, VU, 345. Petite dame dont, dit-on, il a été amoureux tout un soir, VII, 36o. Comment il est installé à Livry, VU, 407. Il a la fièvre et maigrit; Mme de Sévigné voudrait le voir traité par les capucins du Lou- vre, VII, 388, 409, 414 et 4i5, 417, 418, 43?- Sa femme trouve qu’il est mieux depuis qu’il a été à Versailles, VII, 414. Il est douteux que les eaux de Vichy, prises à Paris, puissent lui faire du bien, VII, 4I7- Sollicitude de Charles de Sévigné pour sa santé; il recommande qu’on lui fasse manger des vipères, VII, 420 et 421., Mme de Grignan ne fait pas mention de la santé de son mari c’est bon signe apparemment, VII, 453, 45g. Mme de Sévigné demande une copie d’une de ses lettres, fort bien faite assurément, et qui, elle l’espère, fera son effet, VII, 436. Sa santé est délicate, VIII, 3ii. Sa femme voudrait bien que,

comme Bussy, il prit deux mentons, VII, 470; la chose, de répond Bussy, ne lui sera pas aussi facile qu’à lui, VII, 474 et 475. Il vient d’arriver à Paris (1687), VIII, 4. Il est nommé chevalier de l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 2g5et2gG. Il sera probablement obligé de venir à Paris dans le courant de l’année 1689, pour prêter le serment et prendre le collier, VIII, 3ig. Il sera autorisé à porter le cordon sans venir le recevoir à Versailles formalités qu’il aura à remplir, VIII, 299 et 3oo, 303, 3o4, 3u, 344, 345, 34g, 378, 392, 4°t. Mme de Sévigné compare l’attente où il est de son cordon à celle d’un chien en arrêt, VIII, 362, 368. Il ne recevra le cordon qu’après le chapitre de la Chandeleur, VIII, 43i, 432, 447, 453. Mme de Sévigné le fui envole par la poste, VIII, 456, 457. Comment il doit porter les insignes de l’ordre, IX, 88. n ne reçoit que trois ans après, des mains du Roi, le collier de l’ordre, X, 68 et 69. Compliments au sujet de sa nomination de chevalier joie extrême témoignéepar Mme de Coulanges, VIII, §02, 3o3, 3o4; elle ne veut pas, à cause de son Saint-Esprit, renoncer au droit de l’embrasser, VIII, 442. Son frère le Chevalier veut lui faire cadeau de deux SaintEsprits et d’un cordon bleu; il doit avoir à Grignan la croix de son bisaïeul, VIII, 3o3 et 304. Sa nouvelle dignité lui siéra fort bien, et personne dans sa province ne la lui disputera, VIII, 317. On l’a

Comte

de Grignan.