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ao8 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comte

de Grignan.

tout particulièrement distingué en lui donnant l’ordre, VIII, 329 et 33o. Nouveaux compliments très-flatteurs à ce sujet, VIII, 334. Joie que témoigne Bussy de cette nomination, VIII, 335, 34i, 342. Il aura fort bonne mine avec son cordon bleu, VIII, 347- Sa femme a raison de ne pas sbuhaiter qu’il vienne à Paris, VIII, 358. Quels seront ses répondants dans l’information de vie et mœurs? VIII, 377 et 878» II est fâcheux que sa belle taille ait manqué l’occasion de briller dans la cérémonie de réception, VIII, 382 et 383. Compliments de Corbinelli, VIII, 416. Mme de Sévigné lui envoie un petit Saint-Esprit, et désire qu’il le reçoive en même temps que son cordon bleu, VIII, 435. Elle l’engage à se parer de son cordon pend ant les trois heures qu’il destine chaque jour à être amoureux, VIII, 453.II faudra, dit-on encore, qu’il Tienne à Paris pour sa chevalerie, VIII, 476. Mme de Sévigné compte qu’il y viendra pour l’hiver (1689), VIII, 5oa. Sa femme aura le plaisir de l’y voir faire chevalier, VIII, 5n. Compliment de condoléance que lui fait Mme de Sévigné sur la mort du vieil archevêque d’Arles, VIII, 536. Sa présence à Paris (1689) aurait été fort utile, IX, 23. Il devrait devenir amoureux d’une certaine dame qui est à Avignon, IX, 81 et 82. Il sera fort content d’un livre de M. Hamon, IX, 112’. Mme de Sévigné aime le comte de Ganges parce qu’il est l’ami du comte de Gri-

gnan, IX, i3a. On boit sa santé à Vannes avec du vin de Saint-Laurent, IX, 142. Il serait ravi de faire les honneurs de son gouvernement au duc de Chaulnes, qui doit passer en Provence, IX, 166. Il est de nouveau souffrant, IX, 17&, 176, 178, 2o3, 239 et 240. Coulanges, qui part pour Rome, serait bien aise de le voir à Robinet, IX, 179. Plaisir qu’il a eu à voir chez lui son ancien ami Canaples, IX, 182 et i83. Coulanges est charmé de lui et de la magnificence qui règne dans sa maison il le reconnaît pour duc de Campo-Basso, IX, 227. S’il venait passer l’hiver à Paris, l’affaire de sa cheealerie (de sa réception) se ferait en même temps que d’autres; Mme de Sévigné n’approuve pas son idée d’y venir seul à Pâques (1690), IX, 288. Elle est bien aise qu’il soit engraissé, IX, 294. Elle dit qu’il doit se joindre à elle pour défendre les droits des gouverneurs de province, puis elle se plaint qu’il ne l’ait pas fait, IX, 298 et 299, 333, 336, 372, 421. Elle demande si par malheur on retrancherait quelque chose sur ses pensions, IX, 336. Il aura sans doute grand regret, pendant l’hiver, à la douce société de Mme d’Oppède il va la voir dans son château; il est à souhaiter qu’elle y passe l’hiver, pour qu’il ne regrette pas trop le séjour d’Aix, IX, 347, 371 et 372, 393 et 3o4. Il est le mieux portant des hôtes de Grignan, IX, 427. Il doit faire gras pendant le carême, IX, 461. Il prendrait plaisir à se promener