Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/225

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DES LETTRES DE MADAME DE SË"VIGNË\ arg

et 5o8. Elle blâme sa fille, Mme de Simiane, de vouloir tourner ce livre en ridicule; elle trouve bon qu’on fasse lire les poëtes aux jeunes gens, X, 5o8 et 5og. Elle n’a pas été contente d’une épître du P. Bouhours, bien qu’elle ne soit pas difficile sur ces choses-là, X, 558 et 55g. L’abbé de Bussy lui reproche la rigueur de sa critique, son trop grand amour de la règle; il lui dit que sa vue porte mille fois plus loin que la sienne et distingue des objets qu’il ne soupçonne pas, mais peutêtre cela lui fait-il négliger ceux qui sont grossiers et palpables, X, 573 il l’associe par la pensée à ses lectures, et croit connaître les jugements qu’elle en porterait, X, 575. Sa mère lui envoie les premiers actes de l’opéra de Tltésée, IV, 28 et 29. Elle rêve pendant l’opéra, IV, 43i. Elle approuvera certainement les couplets que Coulanges a faits sur Rome, IX, 400. Bien que les médecins lui défendent de chanter, elle fera sans doute une exception en faveurd’un couplet de Coulanges, V, 190. Elle ne parait pas faire grand cas de la musique de Grignan, V, 281. Elle se connaît en musique, VII, 7 et 8.

Sa SANTÉ Conseils que Mme de Sévigné lui adresse au sujet de sa santé, II, 190, 194, 196, 197, 2o2, 3i2 et 3i3, 4Io, 4S0 et 45t. Nouvelles de sa grossesse, I, 554,557, 56i. Mme de Sévigné raconte au comte de Grignan le premier accouchement de sa femme, II, i3-i5.

Sa mère lui rappelle sa ( fausse couche de Livry, II, 3»4, 407. Elle se croit grosse d’un garçon, II, x&i. Mme de Sévigné la félicite de n’être pas grosse, III, 17, 41 et 42, 128, 147. Vœux pour son heureux accouchement et pour son retour à Paris, III, rg3. Allusion à sa couche fâcheuse elle a pensé mourir en accouchant III, 213. Sa mère craint qu’elle ne soit grosse, IV, 139. Allusion a la couche fâcheuse qu’elle a eue à Aix, IV, 340. Les senteurs de la Provence l’incommodent, III, 86. -j- Sa fièvre, enflure de ses jambes, sa maladie, III, 104 et io5, 112. Elle a été malade, III, 161. Elle est souffrante; sa mère voudrait qu’elle vint à Paris, III, 325. Son torticolis, IV, 3ig, 321. Elle a été saignée; elle ne prend plus de café, IV, 443. Elle a encore un torticolis, V, i3o et i3i. Inquiétudes que sa santé cause à sa mère; pressantes recommandations qu’elle lui adresse à ce sujet, V, 166 et 167, 169 et 170, ao5. Mme de la Troche la presse aussi de se bien soigner, V, 167 et 168. Sa maigreur, II, 45g; V, rgg, 309/ 3r3, 33o, 387, 3gg et 4oo, 4°!- On lui recommande le lait de vache, V, 2o5 et 206. On lui défend de chanter, V, 190. Sa mère lui conseille, pour sa santé, de changer d’appartement à Grignan, V, 182. Elle est mieux, V, 171, 174, 184, 219 et 220. Sa santé, ses agréments, sa gaieté reviennent joie qu’en éprouve sa mère, V, 228, 235 et 236,

Comtesse de

Grignan.

Sa santé.