Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/229

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DES LETTRES DE MADAME DE, SÉVIGNÉ. aa3

fert, IX, ig5. Elle doit prendre soin d’elle dans l’intérêt de ceux à qui elle rend la santé, IX, 260. Sa santé n’a pas toujours été bonne sa mère lui en demande une gazette, IX, 320, 33i. Sa mère est contente d’une débauche de sommeil qu’elle a faite, IX, 358. Elle a des coliques; conseils de sa mère sur les remèdes à employer, IX, 365, 370, 449- On lui recommande sa santé, IX, 392. Il est impossible qu’au milieu de ses embarras et de ses peines sa santé soit aussi bonne qu’elle le dit, IX, 427Elle compromettrait sa santé en faisant le carême son aversion pour le lait, IX, 461. Chaleur de son sang, ses maux de gorge on lui re– commande l’usage du baume tranquille, IX, 493 et 494. Un mal violent dont elle souf- frait est bien guéri, IX, 571. Sa santé est bonne, X, 308. Elle est trop jeune pour souffrir du mal dont elle se plaint; elle devrait venir à Paris pour prendre des eaux de Forges, X, 3 ro et 3 11. Elle est malade sa mère donne des détails sur les maux dont elle souffre si sa santé s’améliorait. elle viendrait à Paris, X, 3i4 et 3i5. Il faut, dit Mme de Coulanges, qu’on l’amène à Paris, ou Helvétius et elle lui rétabliront l’estomac en trois semaines, X, 3ig. Sollicitude que Mme de Chaulnes et Coulanges témoignent pour sa santé, qui a été gravement altérée; ils désirent la voir à Paris, X, 3si et 322, 323 elle y viendrait tout de suite si elle reprenait un peu de

force; son état inquiète et dé- < sole sa mère, qui ne sait pas si elle pourra supporter longtemps toutes les mauvaises nuits qu’elle passe son courage, sa patience, X, 3a et 3a5. L’air vif lui est mauvais on devrait la mettre dans une litière et l’amener à Paris, X, 326 328. Elle est mieux Mme de Coulanges s’en réjouit; a-t-elle fait usage des bouillons d’écrevisse? X, 33 1. -Ellene peut pas encore écrire; son état de faiblesse ne permettra pas de donner de fêtes pour le mariage de sa fille, X, 333. Son état ne lui a pas permis de se faire porter dans la chapelle pour assister à ce mariage; elle aurait tort dé passer le printemps à Grignan, X, 334. Sera-t-elle en état de venir à’ Paris au mois de mars (1696)? X, 341. Sollicitude de sa mère pour sa santé elle fait consulter pour elle le célèbre médecin Barbeyrac, X, 345. Elle ne se portera bien que si elle vient respirer l’air de Paris, où elle sera en outre fort utile à sa belle-fille, X, 347 Sa santé est toujours mauvaise Coulanges en est fort affligé, X, 35t et 35a, 356. Une ordonnance de Barbeyrac l’a soulagée avec une promptitude qui tient du miracle elle se trouve fort bien de la rhubarbe, X, 356 et 357. La rhubarbe lui fait du bien; sa mère envoie sur l’état de sa santé un mémoire à Barbeyrac, X, 370 et 371. Coulanges est ravi qu’elle se porte mieux; il n’espère pas qu’elle vienne à Paris avant la fin de l’automne de

Comtesse de

Grignan.