Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/245

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ*. a3g

qui demande si elle n’a pas permis à la pauvre petite d’être dans un petit coin à la regarder, VI, 829. Mmede Sé- vigné lui parle longuement de Marie-Blanche, et insiste surtout pour qu’elle ne laisse pas cette enfant au couvent d’Aix, VI, 442 et 443, 466.

Elle accouche du marquis de Grignan; ses souffrances, II, 421, 432. Sa sollicitude pour cet enfant, qui a la petite vérole, II, 441. Mme de Sévigné la plaint de trop aimer son fils, III, 147. Il est .malade et a été saigné, III, 497 et 498. H est guéri; elle lui a fait prendre médecine autorité qu’elle a sur lui: affection de son fils pour elle, III, 5oa et 5o3. Elle prend plaisir à s’occuper de son éducation, IV, 478 V, 5. Ses inquiétudes pour la taille de cet enfant, V, 5, i3, 40. Avis que lui donne Mme de Sévigné au sujet de son fils, V, xg8 elle lui conseille d’attirer la Mousse à Grignan, pour qu’il s’occupe de lui, V, 224 elle l’engage à faire faire l’exercice au petit marquis, V, 3n, 32g. Ses espérances pour celui-ci, V, 43g et 440. -Elle s’expose à le garder pendant qu’il a la rougeole, VI, ria, 129. Espoir que lui fait concevoir pour son fils la bonne fortune de ses beaux-frères, VI, 3oi et 3o2. Elle lui est plus utile que dix précepteurs, VI, 457. Elle s’oublie, et veut que tout se fasse en vue de ce fils, VII, 337. Son affection pour lui, VII, 364. Elle le produit de bonne heure; obli- 1

gations qu’il lui aura, VII, 373 et 374. Elle a fort envie qu’il danse au bal de la cour, et qu’il soit bien paré; elle désirerait quei’évêque de Carcassonne contribuât à la dépense de ses habits, VIII, 149 • -Elle voudrait épargner pour le faire vivre et paraître, VIII, 1S0. Les bruits de guerre l’épouvantent pour lui, VIII, L 174. Il est parti comme volontaire; Inquiétudes qu’elle éprouve à son sujet, VIII, 196, 199, 202-204, 2o5-2io, 212 et 2i3, 214 et 2i5, 216, 233, 242 et 243. Motifs qu’elle a de se réjouir qu’il ait fait la campagne, VIII, 236-23g. Lettre de félicitation que lui adresse Mme de Coulanges sur cette heureuse campagne, VIII, 287 et aS8. Conseils que lui donne Mme de Sévigné au sujet du jeune marquis, VIII, 246. Ilvarevenir, VIII, 275 et 276, 281. En se tourmentant comme elle a fait, elle s’est montrée indigne des grâces que Dieu a répandues sur son fils, VIII, 286 et 287. C’est elle qui forme la compagnie de chevau-Iégers dont il est capitaine, VIII, 2Ï4> 280, a83, 820 combien il en est ravi, VIII, 373 louanges qu’on donne tous les jours à cette compagnie, VIII, 433; ses larmes quand elle,se le représente la commandant, VIII, 4i5 ce que c’est que d’avoir une si belle compagnie, VIII, 455. Joie qu’elle doit ressentir de la contusion que son fils a reçue à Manheïm félicitations à ce sujet et sur toute la conduite du marquis, VIII, 263-265, 266, 267 et 268, 269, 27a, 277, 281, a83 et

Comtesse de

Grignan.

Le marquis de

Grignan.