Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

24o TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

284, 289 et 290, 292, 3o4. La fable du Lièvre et les Grenouilles parait faite pour peindre l’état d’inquiétude où elle se trouve au sujet de son fils, VIH, 269. aime de Sévigné lui annonce le retour du marquis à Paris, lui donne des détails sur sa contusion, lui fait son éloge, VIII, 807 et 3o8. Lettre où il lui rend compte de ce qu’il a fait depuis qu’il est à Paris et la remercie de sa compagnie, VIII, 3io. Mme de Sévigwé ne peut qu’admirer la manière dont elle sait parler à son fils mais, en l’absence de la mère, c’est à elle à, le former; elle lui rend compte des excellents avis qu’elle etle Chevalier donnent à ce jeune homme, VIII, 3i5-3i7. Tout en l’aimant et en le caressant, on lui,apprendra ce qu’il ne sait pas encore; on ne lui apprendra point à ne pas aimer la plus aimable et la meilleure des mèrès, VIII, 345. On la plaint de ne l’avoir pas encore vu; on lui en donne d’excellentes nouvelles, VIII, 320 et 3ai. II lui rend compte d’un séjour qu’il a fait à Versailles, lui parle de sa compagnie, et du désir qu’il a de la voir, VIII, 328 et 32g. Elle ne doit pas faire porter sur lui les économies qu’elle se propose de faire, VIII, 356. On n’a jamais vu une maternité aussi parfaite que la sienne; elle mérite bien d’être ahnée.de son fils, VIII, 4s3. Tendresse et reconnaissance de son fils pour elle, VIII, 468, 469 Elle ne doit pas se chagriner de ce qu’il aime peu la lecture; ce goût lui viendra, VIII, 426 et 427. Elle ne

lui a pas inspiré le goût des livres, particulièrement des livres, d’histoire, IX, 872, 4o3. Éloges qu’on lui fait de son fils) VIII, 454 et 455, 462. Elle ne doit pass’inquiéter trop tôt pour lui, il ne va qu’aller tenir garnison à Philippeville, VIU, 485, 491, 496, 5io et 5 1 1 Souhaits ardents qu’elle fàit pour sa conservation, IX, 9. Mme de Sévigné soupçonne que sa fille ne s’est retirée à Grignan que pour se livrer plus facilement à ses inquiétudes pour lui, IX, u, Vives appréhensions que la guerre prochaine lui donne; sa mère les ressent aussi, mais veut néanmoins qu’elle se console et ait confiance, IX, r5 et 16, 21. 26. -T- On la rassure encore sur les dangers de la guerre, IX, 110. C’est à elle que son fils doit ses belles qualités, IX, 40. Mme de Sévigné partage toutes les inquiétudes qu’il lui donne, IX, 199. II serait cruel qu’elle ne pût le voir de tout l’hiver, LX, 280, 285, 294, 328, 34r, 349, 372. Elle a tout lieu d’espérer que son fils obtiendra le régiment du chevalier de Grignan, IX, 3ii et 3i2. Il obtient ce régiment, IX, 317; et pourra sans doute vendre sa compagnie, IX, 317, 332, 339 et 340. Il est à craindre que la permission de vendre ne soit refusée, IX, 341. Elle est accordée, IX, 356, 362 et 363. Quand la compagnie sera-t-elle vendue ? IX, 372. Il sera difficile de trouver un acheteur qui paye, IX, 38o, 420, 433. La compagnie est vendue, IX, 469; mais pas avan-