DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a65
veau pape va malheureusement lui enlever le Comtat, IX, 177, 186, 191, ig3, 201, 2O3, 206, 239, 248, a5g, 264, 270, 274, et 278, ss8d. 1– Avignon est rendu; il serait bien à désirer qu’Orange pût compenser cette perte; mais Orange est depuis longtemps dans leur gouvernement sans qu’ils en soient mieux, IX, 3i3 et 3 14. Dépenses du voyage d’Avignon, IX, 82, 84, g5 et 96, i34. La perte d’Avignon la ruine; il faudra travailler à réparer ce malheur, et le supporter avec courage, IX, 388, 295, 326, 33o. Nouveaux regrets sur le même sujet, IX, 370, 4°4j 5o6. Le Comtat rappelle à sa mère une parure de pierreries qui ne fut prêtée à sa fille que pour un bal du Louvre, IX, 208 et 209. Mme de Sévigné supporte cette perte moins bien qu’elle, IX, aa5 et 226. Tourments que ses horribles dépenses et la ruine inévitable de sa maison donnent à sa mère, IX, 3 et 4. Elle veut qu’elle la tienne au courant de ses affaires, auxquelles elle songe avec douleur, IX, 12, 14, 67 et 68, tgg. Ce qu’elle appelle être cachée dans son château, IX, ri5 et 116. Magnificence ruineuse du service de table à Grignan, IX, 181.et i8î. Ses fermiers commencent à la mal payer, IX, 206. Comment peutelle suffire sans argent à tant de dépenses? IX, 209. Le régiment que sonfils vientd’obtenir va lui causer un surcroît de dépenses et d’embarras, IX, 817, 337 et 338. On pourra vendre sa compagnie, IX, 317,
Dérangement de ses affaires, VII, a88, agg. Elle a son château à rebâtir, VII, 293. Elle a obtenu un secours fort utile, mais cent mille écus ne suffiraient pas à la tirer de peine, VII, 335 et 336. Difficultés survenues, au sujet de ses belles-filles, avec le duc de Montausier, VII, 345; Vin, 147-149. Dépenses qu’elle a faites à Paris pour orner sa chambre, VU, 3gg et 400. Elle est tout à fait exempte d’avarice, VIII, 7. Elle ne doit pas être honteuse de retrancher ses tables, à l’exemple du Roi, VIII, 324,– Elle a certains projets d’économie, VIII, 356. Il y a vingt ans qu’elle brille en Provence par ses dépenses; sa mère l’engage e à les diminuer, à cause de celles qu’elle doit faire pour son fils; elle l’engage aussi à tirer d’Avignon’tout ce que le Roi permet d’en tirer, VIII, 418. Elle ne peut point ne pas donner à manger à trois ou quatre personnes, VIII, 422- Mme de Sévigné a écrit à l’évêque de Carcassonne qu’elle ne peut plus rien faire pour sa fille elle le supplie de venir en aide à sa famille, et particu- lièrement à son neveu, "Vm, 428 et 429* Allusion à son .j manque d’argent, VIII, 5og; J IX, 197- Avignon est une bonne ressource, VIII, 418, 459; IX, 401 67, 100, 13r, 160. Son mari l’aura long- temps, IX, 58 voyez Gei- gisait (le comte de). Il est juste qu’elle aille à Avignon voir des gens qui lui donnent de bon cœur l’argent qu’ils donnaient au vice-légat, IX, 70 et 71. L’élection d’un nou-
Comtesse de
Grignan.
