Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/275

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a6g

tes dispositions vont toujours croissant, VII, 78, i83. Où compte-t-elle prendre le voile? VII, 88. Sa bellemère ne peut sans une grande émotion l’entendre lui parler de ses grandes résolutions, VII, 109. Elle fera confidence de son zèle à l’abbé de la Vergne, VII, 127. Elle est à Livry, VII, 198. Son silence quand on lui parle de l’équipée de la marquise d’Alègre, VII, 273. Charles de Sévigné et sa mère l’appellent sainte Grignan, VII, 287, 459Sa fuite, VII, 29a et 293. Sa belle-mère va la voir à Gif, VII, 296. Quelle raison lui a fait perdre patience ? Sa résolution n’aurat-elle pas quelque influence sur le mariage de Mlle d’Àlerac ? VII, 3ot. L’espérance d’avoir son bien ne sera qu’une chimère nuisible à l’établissement de cette dernière, VII, 33r. Elle ne doit s’expliquer qu’au mois de septembre Mme de Sévigné la bénit, parce que cet ajournement retient sa fille à Paris, VII, 4o5. Mme de Sévigné entre dans ses raisons de ne pas s’attacher à Gif; Mme de Grignan souhaite de la ravoir dans sa maison, dont.elle fait l’édification, VII, 4r3- Ses hésitations, VII, 428. Elle va prendre le grand habit des grandes Carmélites, VII, S02. Elle quitte ce couvent, à cause de sa mauvaise santé, huit mois après y être entrée, et après y avoir pris l’habit; elle va à Livry, et se retire aux Feuillantines donation qu’elle fait à son père; Mlle d’Alerac comprend la justice du senti-

de la Méditerranée, qui ne sont pas bons, VIII, 558. Son rêve sur les Rochers; elle les voit tels qu’ils sont maintenant, IX, 253 et s54. Sa mère voudrait pouvoir se re- présenter comment elle est habillée, IX, 3s8. Sa mère lui nomme plusieurs personnesqui envoient de l’argenterie à la Monnaie, et lui dit qu’elle jugera peut-être convenable de les imiter, IX, 36o. Sa mère la plaisante sur l’inexactitude de la nouvelle qu’elle lui avait donnée de la mort de du Janet, IX, 36o et 36i. Elle ne partage pas l’avis de sa mère sur le privilège qu’on vient d’enlever au gouverneur de Bretagne de choisir le député, IX, 421.

Grigkan (Louise-Catherine de), fille aînée du comte de Grignan et de sa première femme, Angélique-Clarice d’Angennes, VI, 72, n3, 157, 168, 191, 300,391,537,553; vn, 261. Elle veut se faire religieuse, V, 9. Le voyage de son père et de sa belle-mère à Aix, en 1680, est peut-être la décision de sa destinée, VI, 397. Mme de Sévigné honore sa solide vertu, VI, 529, 53o; VU, 4r3; louanges qu’elle lui donne en parlant de sa vocation religieuse, VII, 24 et 25, 67, 68, 71, 78, 95, 109. Part que sa belle-mère a eue à sa résolution, VII, 68; VIII, 10 et n. Elle ne parle qu’à son père de ses intentions; c’est sans doute pour se’mortifier qu’elle les tient secrètes, VII, 72. Elle instruit confidemment Mme du Janet de ses desseins, VII, 75. Ses sain-