Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/283

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a77

rait bien nécessaire pour elle que Mme de Sévigné et Mme de Grignan revinssent à Paris, X, 327 et 828, 347. Mme de Coulanges est éblouie par l’éclat de ses yeux et la trouve engraissée et embellie; Mme de Nevers la trouve aussi fort jolie, X, 329. Elle soupire après le retour de Mme de Se · vigné, X, 33o. Coulanges ne l’a vue qu’une fois, et n’espère pas faire grande connaissance avec elle, tant que sa nouvelle famille ne sera pas à Paris, X, 341. Elle a fort réussi dans le monde, X, 426. Sa mort c’était une sainte ignorée du monde ses legs à Mme de Simiane, qu’elle aimait et qui l’aimait tendrement; son goût pour les livres et les belles reliures, XI, 261.

Grignak (Marie-Blanche d’Adhémar de), fille du comte de Grignan et de. Françoise-Marguerite de Sévigné, 11, 21, 3o, 47, 61, 64, 71, 73, 82, 97, 1o3, 118, rai, i33, 157, 178, i85, 191, ao3, 253, 33o, 342, 345, 365, 366, 377, 3go, 445, 458, 53i;m, 27, 83,84, ig3; IV, 82, 352 (?); V, 3o9 (?), 3i3 (?); IX, 43g. Sa naissance, a Paris, II, i3-i6. Tendresse de Mme de Sévigné pour elle (elle la garde auprès d’elle quand sa mère part pour la Provence), II, 64, 168, 279 et 280, 3n et 3 12, 433, 489*, 5o6; III, 79, 128, i33, r47, i57; IV, 167, 425; V, ï53; VI, i33r 137. –Elle l’appelle ses petites entrailles, II, 280, 3i2, 33o, 335, 366; III, Igr. La Reine regrette qu’elle ressemble à son père, II, i35 III, i5. Mme de Sévigné change sa nourrice, II, i5o-

i52, 196. Elle est aimable, II, i5a. Ses petites perfections, II, 168 III, 79. Elle embellit tous les jours, II, ao8; III, 56. Mme du Puydu-Fou en aura soin comme de sa fille, II, 217. Mme de Sévigné veut lui donner sa première robe, II, 296. Mme de Grignan désire qu’on la lui renvoie; Mme de Sévigné veut la garder encore, II, 3o2 et 3o3. -Elle est jolie et belle, II, 3i2, 436, 461; III, 56. Elle a percé des dents, II, 3a5, 409. Mme de la Trousse la prend chez elle, pour la soustraire à la rougeole, II, 335, 337. Allusion à l’indifférence de sa mère pour elle, n, 433,_ 444 m, 78. 79- Ses gentillesses, II, 444 1 461, 463, 474, 489, 5o6; Itl, 79. Son de sa voix, II, 46r, 474; III, 56. Elle plaît à Mme Scarron; elle appelle l’abbé Têtu papa, II, 514. Elle ressemble à son oncle le coadjuteur d’Arles, II, 536 et 537. -Caresses qu’elle fait au portrait de sa mère, III, 4- Mme de Sévigné craint de la trop aimer, III, ai. Son opiniâtreté agrément de toute sa personne, III, 56. Son amabilité, III, 75, 96. Sa grand’mère l’emmènera probablement avec elle en Provence, III, 75. Elle se décide à ne pas l’emmener; sa coiffure, III, 79- Elle l’emmène à Livry, III, 88, 90. Elle la ramène à Paris, pour la garder avec elle jusqu’à ce qu’elle aille en Provence, III, 96. Chagrin de Mme de Sévigné de ne pouvoir l’emmener en Provence, III, 128. Soins qu’elle prend d’elle avant de