Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/286

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a8o TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Sa harangue au Roi, au nom de l’assemblée du clergé (iÔ75), IV, 58 et 5p. Il y fait habilement allusion à la défaite de Conzsaarbruck en quels termes le Roi témoigne sa satisfaction, IV, 65. Tout le monde admire cette harangue, IV, 66, 8g et go, 162. Ilest disposé à se montrer libéral envers son frère le Chevalier, IV, 100. Compliments que sa belle-sœur recoit à son sujet, IV, 11G. ’lime de Grignan lui écrit sur sa harangue il craint de perdre le tiers de son abbaye, IV, 204 et 205. Son épouvantable tranquillité sur tous les devoirs de la vie, IV, 291. U juge admirablement les Essais de morale de Nicole, IV, 377. Sa dévotion, IV, 42-5. Sa fragilité, sa gaieté, IV, 46o et 46 r. Comment il faudra le proposer pour l’archevêché d’Alby, V, 3o et 3i. Le petit marquis de Grignan serait très-bien auprès de lui, V, 4<> D entend parfaitement la plaisanterie, V, 54 et 55. Mme de Sévigné ne le trouve changé en aucune manière, V, 178. Succès de son compliment extraordinaire au Roi; il pourra rester à Paris autant qu’il le voudra, V, i85. Mme de Sévigné veut le consulter sur les lectures à envoyer à sa fille, V, igo. Il se tire très-bien de l’affaire de ses bois, et les vendra; il est le favori de Colbert; son visage est solaire; il réussira dans ses prédications, V, 244 et 245. Il se plaint de son frère l’abbé, qui l’a laissé seul à Paris, V, 374. A l’arrivée de Mme de Sévigné à Paris, il

vient la voir, V, 346. La Provence a envie de lui donner une place dans l’assemblée des états son frère l’abbé en parle fort à propos à Colbert, Vl, 122. La fièvre continue l’empêche d’écrire à Pompone disgracié, VI, 149. On espère le voir à Paris; sa ruelle était celle de la vieille princesse de Guémené (?), il verra la jeune dans la multitude de ses poulettes, VI, 166. Sa lettre de condoléance à Pompone, VI, 180. Pauline de Grignan lui écrit mie lettre charmante, VI, t86. Il est ami de Mme de Bury, qui vient d’être nommée dame d’honneur de la princesse de Conti, VI, 196. Sa bellesœur écrit, dit-il, beaucoup trop, VI, 3i4, 3t5. Il est a Saint-Germain, VI, 3i6. –Il est probable qu’il sera nommé président de l’assemblée des états de Provence, VI, 341. Couplet de Coulanges sur lui et sur ses frères, VI, 342. Joie qu’éprouve Mme de Sévigné à le recevoir, VI, 343. Il devient président de l’assemblée de Provence; esprit qu’il a déployé dans cette occurrence, VI, 357. Il n’est pas soupçonné d’hérésie, VI, 45o. Les conversations de Mmes de Sévigné et de Grignan ne lui ont pas fait de tort, VI, 460. Il fera des merveilles à la tête de l’assemblée des états de Provence, VI, 48g. Il est en beau chemin, VI, 513. Il va venir à Grignan, VI, 523; VII, 61; X, 171. Il signe une lettre adressée au Roi, qui contient des sortes de menaces contre le pape; sa harangue au Roi,