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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 285

penses du marquis de Grignan cela devrait être, IX, 337 et 338. Allusion à son indifférence pour M. et Mme de Grignan, IX, 356. Il a été à Grignan; surprise que lui cause la mort subite de Lausier, IX, 380. IL paraît à Mme de Sévigné militaire comme l’archevêque Turpin, IX, 3g2. Il ne fait pas ce qu’il doit et peut faire pour M. et Mme de Grignan, IX, 424, 4î5, 426, 463. Il contemple son essence, et ne donne aucun secours à son frère; il a retranché la pension qu’il faisait à son neveu; il n’a pas même donné la somme qu’il avait promise pour son bâtiment, IX, 463 et 464. Mme de Sévigné lui souhaite beaucoup de bonheur dans une affaire qu’il poursuit à Paris (1690), IX, S17. Ses bontés pour Beaulieu mourant, LX, 532. Sa victoire sur d’Aiguebonne, IX, 565 on s’accorde à louer les soins qu’il a pris de cette affaire; Mme de Sévigné ne lui croyait pas tant de talent; elle compare sa victoire à celle de Fleurus, IX, 567, 5y3. Pontchartrain lui témoigne ses intentions obligeantes pour le comte de Grignan. XI, xxn. Il est attendu’ à Grignan, X, 171, 280, Il est malade, X, 178. Il est à Grignan (1694), X, 52i. Coulanges le complimente sur le mariage de son neveu, X, 225. Il vient voir son frère le comte de Grignan, qui a perdu son fils (1704), X, 5io. Fléchier le félicite de la nomination de son neveu, l’abbé de Rochebonne, à l’évêché de Noyon, X, 530.

sur la conduite de ses affaires, et l’exhorte à se mettre en état d’aider son frère le comte de Grignan, VIII, 428 et 429. L’ouragan qui a failli renverser le château de Grignan aurait dû renverser son bâtiment, VIII, 45g. Plaisan- teries sur ce bâtiment, IX, 86, H2, 117, 121 et 122. Comment s’accommode-t-il de la présence du Chevalier? IX, 112. Mme de Sévigné ne sait pas comment elle est, pour l’heure, avec lui, IX, 122. Il est bien disposé pour Mme de Sévigné; la colère lui faisait dire des choses déplacées; retour de ses bons sentiments pour son frère le Chevalier; il ’veut le mener à Balaruc, et supporter la dépense de ce voyage; il ne dépenserait pas plus pour achever son bâtiment, IX, i45 et 146. A-t-il mené son frère à Balaruc? IX, 180; on croit que les deux frères y sont (1689), IX, 186. Réticence de Mme de Sévigné à son endroit, IX, 197- Soins qu’il a pris de son frère le Chevalier, IX, 336. Mme de Sévigné demande où il est, IX, 248. Elle plaisante sur lui; il a eu tort de commencer son bâtiment, plus grand tort encore de ne pas le finir, et de s’attirer ainsi la juste improbation de toute sa famille, IX, 266 et 267. Il doit être en léthargie, puisqu’il ne souscrit pas aux offres que lui fait l’archevêque d’Arles pour l’achèvement de son bâtiment, IX, 3o3. Celui-ci obtient de lui quatre cents écus pour ce bâtiment, IX, 3i3. Il passe pour fournir aux dé-