DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 327
gnan lui gagne la bienveillance de Mme <je Sévigné, IV, 217. Ferveur et vocation de sa fille; Mme de Sévigné veut lui écrire à ce sujet, VI, 17.5. Elle se rend à Âix tout exprès pour Mme de Grignan, VI, 2,58- Mlle de Grignan ne lui confie pas d’abord son dessein d’être religieuse, VII, 72 elle lui fait plus tard cette confidence, VII, 7S. Mme de Sévigné croit Faussement qu’elle a perdu son mari et qu’elle est très-affligée, IX, 3 26 elle lui écrit un billet de consolation, IX, 3a8 puis se raille ellemême au sujet de ce billet, IX, 3fto et 36i.
Janet (Mlle du), fille des précédents. Sa prise d’habits Mme de Sévigné désire y assister, et lui fait donner ses habits par Mme de Bagnols, VI, i63. Elle est aux Carmélites; c’est un. prodige de ferveur et de vocation, VI, ryS. Mme de Grignan est affligée de sa mort; c’est, dit-elle, une sainte, et elle était martyre, X, 567.
Janséniste, Jansénistes (les) I, 416; V, 62; VI, 442, 555; VII, 4 et 5. Leur querelle avec les molinistes, VI, _36q. Il ne leur est pas permis de se justifier, VII, 85.
jAHSÉHitrs, VI, 442.
Jawsoit (Laurent de Forbin, marquis de), frère alné de l’évêque de Marseille, gouverneur d’Antibes, IX, 541. II dit du bien du comte de Grignan devant le Roi, mais il parle aussi de sa paresse naturelle, sur quoi il est relevé par le marquis de Charost, II, 5o6. Le comte de Grignan lui fait faire ses compliments, III,
il est gai et beau; on rélève en dansant, VIII, 443 et 444. Sa mère l’emmène à Poissy, VIII, 489 et 490. Son départ d’Avignon n’y a pas fait un grand vide, XI, 3y. Il reviendra bientôt dans cette ville, XI, 72.
Jacquier, munitionhaîre des armées, II, 3o4.
Jacquike, fille de la basse-cour des Rochers, II, 220, 269. Elle a le poignet démis et le bras cassé; ses cris, II, 331 et 332.
J’ACtyJOT, fils de la nourrice de Marie-Blanche de Grignan, III 83.
Jai (Nicolas le), sieur de la Maison-Rouge, conseiller à la troisième chambre des enquêtes (?), IX, 45S.
Jaxez (Mme de). Elle n’est plus chez la duchesse de Lesdiguières, qu’elle gênait par sa tendresse vive et inquiète, VII, a33, 235.
JANET (du), gentilhomme de Provence, II, 332, 34i V, 432, 435; IX, 36o et 361. II annonce à Mme de Sévigné le succès du comte de Grignan dans l’affaire du syndicat, III, 327’ II va à Saint-Germain il y voit Pompone, III, 33t, 333. Accueil qu’il reçoit de lui à Port-Royal sa joie de la réussite de l’affaire du syndicat, III, 335. Mme de Sévigné lui est obligée d’avoir ôté la plume des mains de Mme de Grignan, VI, 174. Mme de Sévigné croit faussement qu’il est mort, et que sa femme est bien affligée, IX, 326.
JANET (Mme du), femme du précédent, III, 33’5 VI, 266. -Son attachement pour Mme de Gri-
