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334 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

précédent, V, 3go. Sa surdité, II, 489.

Lamoichon (Chrétien-François de), avocat général, puis président à mortier au parlement de Paris, fils des précédents, VII, 325, 340, 466, 476; VIII, 144, îî1’ 4o9, 497, 5i7, 553 IX, 38, 455, 527; X, 35, 38, 186, 216, 3ia, 33o, 367, 3o5;XI, xxxvi. Mme de Sévigné engage sa fille à lui écrire sur la douleur qu’il a eue de voir mourir entre ses bras le éhevalier d’Humlères, VII, 291. Il regrette de n’avoir pas montré sa harangue à Mme de Sévigné elle le prie de la montrer à Mme de Grignan, VII, 817 et 3i8. Il doit souper avec Mme de Grignan, VII, 342. Il dîne chez elle, VII, 43 1. Mme de Sévigné soupe chez lui, VIII, 278, 3oo, 330, 464 482 -Il donne à dîner à Corbinelij, IX, 3o8 et 399, 415, 417, 441. H soupe chez l’abbé le Peletier, VIII, 557 et 558. Sa colique néphrétique, VII, 347, 35s; VIII, 402, 558. Mme de Grignan ne saurait trop ménager un tel ami, VII, 352. -Mme dé Sévigné lui fait dire qu’elle ira chez lui, à Bâville, VH, 377. Il veut y retenir Coulanges;’i court les champs tout le jour, VII, 383 et 384, 385. Il regrette que Mme de ’Grignan ne vienne point à Bâville, VH, 410. Séjour de Mmes de Sévigné et de Grignan a Bâville; personnes qui s’y trouvent avec elles, VII, 462. Il admire le bon esprit de Mme de Coligny, VII, 463. Il perd son beau-frère Voisin, et le regrette sincèrement il écrit à Bussy au sujet

de cette mort, VII, 469, 473 et 474. Le Roi lui donne une pension, VIII, 168. Il fait une belle harangue aux avocats et aux procureurs, VIII, 278; Mme de Grignan le complimente à ce sujet, et le remercie de l’intérêt qu’il porte a son fils, VIII, 294 et 295. Le marquis de Grignan va le voir et cause fort bien avec lui, VIII, 3o8, 3ro. Il s’en va à Bâville, VIII, 33o. Nouvelles qu’il donne du roi d’Angleterre, VIII, 365, 367. Il est admis à un souper de goutteux, VIII, 40a. Il n’est pas très-pressé de marier sa fille, VIII, 403, 433. H doit aller à Saint-Cyr avec Mme de Sévigné, VIII, 471. Il doit donner ses conclusions dans l’affaire du testament de Mlle de Guise, VII’t, 542 et 543. Il se trouve mêlé dans l’affaire de l’enlèvement de Mlle de Vaubrun il ramène cette jeune fille à sa mère, VIII, 554 et 555. Son influence, aidée de la fête de Pâques, calmera toutes les fureurs excitées par cette affaire, VIII, 564 et 565. Il est dépositaire des articles du mariage du fils de Mme de la Fayette et de Mlle de Marillac, IX, 226. Il n’a pas eu part au mouvement qui s’est fait dans la magistrature, IX, 217. ̃ Le Roi lui donne la survivance de la charge du président de Nesmond, IX, 348. Il n’est pas dans une parfaite union avec son beaufrère de Harlay; il a été grondé d’avoir élevé si haut les louanges de la maison de Lorraine, IX, 484 et 485. Reconnaissance de Mme de Sévigné pour