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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGJYÉ. 355

voulu qu’elle se réconciliât avec Mademoiselle, II, 142. Sa douleur de la mort de la princesse de Conti, sa bellesœur, II, 490. Celle-ci lui laisse par testament l’éducation de ses deux fils, II, 4go et4gr. -Sa douleur en apprenant la mort de son fiis, III, n3 et 114, 118. La conclusion de la paix redoublera sa douleur, III, 119. Peu de personnes la voient; elle est malade, III, rat. Elle reçoit Mme de Sévigné; ce qu’elles se disent, III, 127. C’est une grande consolation pour elle que son fils ait reçu l’absolution avant 1 son départ pour l’armée, III, i36 et 187. Elle est à la campagne; sa chambre, à l’hô- tel de Longueville, est habitée par Mme de Meckelbourg, III, 327. Son oraison funèbre par l’évêque d’Autun, VI, 352-354, 370. Elle a jadis désapprouvé un livre que lui avait dédié Trouvé, VII, a3o. Saint-Aubin se trouve indigne de mourir à la même place qu’elle, VIII, 267. Elle n’oubliait pas l’état d’où Dieu l’avait tirée; sa reconnaissance et son humilité, IX, 274- Le P. Maimbourg la compare à une princesse hérétique qui figure dans ses histoires, IX, 3a 5. Allusion aux sentiments que le Roi soupçonnait en elle, X, 575.

Lokgueville (le duc de), fils aîné de la précédente. Voyez Orléaks (l’abbé d’).

LoHGHeviule (Charles-Paris d’Or- léans, comte de Saint-Paul, puis duc de), frère du précédent, I. 525; II, 24, 83, 180, 436, 5i4; III, ni, 126, 132, 180. Il devient duc de Lon«-

gueville par la donation que lui fait son frère, II, 83 et 84; VII, 17.0. Chanson faite sur lui, II, ra3. Il est un des adorateurs de Mme de Brissac, II, 467. Il est tué au passage de PYssel, III, 108. Détails sur sa mort, III, 109 r 1 8 -Sa mort est annoncée à sa mère, III, n3 et 114. Douleur que cause sa mort, III, 11 5, 119. Sa valeur imprudente est cause de sa mort, III, 117, 119, 121, i35. Son testament il laisse une grande partie de son bien à un fils qu’il a, III, ir8. Charles de Sévigné, pour qui il avait de l’amitié, est sensiblement touché de sa mort, III, 118, 127. On parle encore de sa valeur imprudente; il s’était confessé et avait reçu l’absolution avant de partir pour l’armée; sa charité cachée, ses vertus; regrets qu’il laisse à beaucoup de personnes, III, i36 et 187, 142. Ce qu’on dit à Mme de Marans des sentiments qu’il avait pour elle, III, 344 et 345,

Losgui!vïc,le ( Charles Louis d’Orléans, chevalier de), fils naturel du précédent, qui lui laisse par testament une grande partie de son bien, III, n8, 143, 180, Manière malheureuse dont il est tué après le siége de Philisbourg, VIII, 25o.

LpifGiœviiXE (l’hôtel de), à Paris, II, 83; VI, igo.

LokkelaYe (de la), ami de Mme de Sévigne, VIII, 16. -Voyez Lodvelais (Mme de la), et tome X, p. 419, note 18.

Lope DE Véga. Son nom est devenu synonyme de toute perfection, V, 5o6 et note 6.