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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNË. 379

le marquis de Vardes, VI, 43o. Sa fièvre, VIII, 140, 156. Il vient apprendre au Roi, pendant un sermon, la prise de Philisbourg, VIII, a3g. Le marquis de Grignan vient le voir, VIII, 32g, 425. Sa sévérité pour Nogaret, VIII, 455. Son style et son esprit décisifs sa prévoyance il ne connaît rien d’impossible, IX, 161. Émotion de Mme de Coulanges en apprenant sa mort, X, 38. Il est mort subitement; toutes ses places sont déjà remplies, et on ne songe plus à lui à la cour, X, 40, 42. Réflexions sur sa mort, X, 45, 46, 48, 53. Son tombeau fait des miracles, X, 76. Il n’a cherché à déposséder personne; tous ses grands biens lui ont été en quelque sorte jetés à la tête, X-, 197. Sa richesse, X, zoo. Sa ’femme dit qu’il avait toujours destiné Meudon au Roi, X, 274 et 27S. C’est un des plus grands et des plus riches ministres que nous ayons eus, X, 5t8.

Louvois (Anne de Souvré, marquise de Courtenvaux, mar- quise de), femme du précédent, V, 276; VI, 348; VII, 45o, 459, 460; VIII, ioo; IX, 217, 48r; X, 40, 178, 184, 188, 192; 198, 201, ao5, 206, 211, 239, 245, 248, 309, 3n, ) 34i, 342,348, 349, 396, 445, 456, 5o2, 5i8. Sa méprise comique, II, 489, 492- Mme de Sévigné dîne avec elle, III, 3o8. Ce qui arrive chez elle au coadjuteur d’Arles III, 469. Mme de Sévigné va la voir, IV, 52& et 527. Mme de Sévigné loge ou elle a logé à Bourbon, VIII, 99.

Elle marie une de ses filles aide que Langlée lui prêté en cette circonstance, X, i4i, 147; grands personnages qui viennent chez elle magnificence du souper qu’elle donne, X, 146* 147. •– Elle. est assez gravement malade sa crainte des maladies et de la mort, X, 166, i67,; 168 et 16g. Elle espèce vendre son château de Meudon au Roi, pour acheter une maison plus rapprochée de Paris, X, 173 3 et 174» -Elle fait une partie de plaisir à Vaugirard, et s’associe à une plaisanterie contre Carette, X, 176 et 177. Coulanges jouit de son abondance et de ses richesses, X, igî. II se promène depuis un mois dans ses États; énumération plaisante de ses possessions et de ses richesses, X, 194-196. Comment elle possède toutes les propriétés de la maison de Clermoht–Tonnerre tous ceux qui dépendent d’elle se trouvent heureux de l’avoir pour suzeraine, X, 200. EUe se trouve si bien dans ses terres qu’elle va y prolonger son séjour; sa vie à Tonnerre et à Ancy-le-Franc, X, 202 et ao3. Son goût pour les choses de l’esprit; X, 204. Son prochain retour à Paris, X, 208. Coulanges vit autant chez elle que chez sa femme, X, a32. Le duc de Chaulnes lui donne un magnifique dîner, X, 241 Mme de Sévigné la trouve honnête et polie, X, 247- Elle cède Meudon au Roi à des conditions fort agréables, X, 270. Elle va à Versailles, et répond très bien aux choses gracieuses que le Roi lui dit;