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382 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Bourgogneluieause une grande joie, X, So5.

Lude "(l’hôtel du), à Paris, IX, 5ga et 5g3.

Ludkes (Marie-Isabelle comtesse de), chanoinesse, et successivement fille d’honneur de Madame Henriette, de la Reine et de la seconde duchesse d’Orléans, II, i85; III, 192 z et ig3, 201 et note 5 (?) IV, 35, 418 182, ,190, 191, 195, 102, 228 et 224, 3x3, 353 VI, S44. Elle va à Dieppe et se fait plonger trois fois dans la mer, parce qu’elle a été mordue par une chienne enragée, II, io5. Mme de Sévigné la compare à Andromède, II, 10» et 106, i35 et t36. Mécontentement qu’elle éprouve du mariage du duc d’Àyen, II, 3o2. Elle retourne chez Madame lorsque les filles de la Reine sont supprimées, III, 293 V, 170 et 17T,’ 17S. Le chevalier de Vendôme veut se battre avec Vivonne, à cause d’elle, III, 3og et 3 10. Ses prétentions sur le gouvernement du Languedoc, V, 3jr. -Elle est désignée sous les noms d’Io et d’/wV, V, 170, 188, 190, 191, ig5, 196, 202, 223, 240- Mme de Thianges lance des traits contre elle; on croit qu’elle va reprendre son train ordinaire chez Madame, V, 170 et 171. Dureté du Roi pour elle, V, 175, 178. Mme de Montespan la nomme le Haillon, V, 202, 240. •̃– La 1 solitude lui plaît; elle va au Bouchet; elle passe une nuit dans les champs, par suite d’un accident arrivé à son carrosse, V, 188. Son retour à Ver1’ sailles ne fait pas sensation

le maréchal de Rochefort la prie en mourant do consoler sa femme, IV, 473- Ses inquiétudes pour son second mari, VII, 388. Mme de Sévigné soupe chez elle, VIII, 346. Son amitié pour Mme de Grignan, VIII, 358. Elle envoie toutes ses belles argenteries à, la Monnaie pour obéir. au Roi, mais elle est au désespoir, IX, 35g, 366. Elle touche vingt-sept mille écus pour. son argenterie, et se remeuble en meubles de bois et en glaces, IX, 377. Elle a été fort longtemps occupée de Versailles et de Mariy, mais n’y va plus depuis trois mois, IX, 526 et, 627. Elle doit conduire Mme de Maintenon à Pontoise, X, 288. Elle est nommée dame d’honneur de la future duchesse de Bourgogne, et se rend au-devant d’elle; confiance que lui témoignent le Roi et Mme de Maintenon en cette’ circonstance, X, 411 et 412. Sa bonne conduite en toutes choses elle s’est surpassée elle est charmée de sa jeune princesse, et en écrit des merveilles, X, 422. Un rhumatisme l’empêche de jouir des honneurs dont elle est comblée, ,X, 427- Les fatigues de sa charge lui ont enlevé sa bonne santé elle se donne trop de peine, X, 43o. Elle est fort bien remise et fort gaie; elle est tout à fait raccommodée avec sa petite princesse, X, 442. Elle ne sent pas ses maux dans la chaleur du combat, X, 45 1. Il est ridicule d’être aussi belle qu’elle l’est; les années coulent sur elle; la grossesse de la duchesse de