Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/400

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
394
TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

donne à elle et à sa sœur des réjouissances pendant le carême, III, 10 et 11. − Réception qu’on lui fait à Dijon ; elle y a un procès, III, 247 et 248. Elle ne prend point part aux plaisirs de la Saint-Hubert, parce que sa mère est à l’agonie, V, i33. Elle va chez le cardinal de Bouillon, X, 182. -Sa cousine, Illle de Villarceaux, est morte sans avoir le temps de la déshériter, X, 209. -Voyez Grakcey (Mlles de).

Marfore, statue à Rome, V, 36.

Marguerie (de la). Il obtient la place de conseiller qu’occupait M. d’Estampes, II, 49.

Marguerite (sainte), V, 335. Vertu de ses reliques, IV, 383. Marguerite, figure qui frappait les heures à l’horloge du beffroi de Lambesc, II, 404, 54g.

Marguerite de Valois, reine de Navarre, VI, 267. Mme de Coulanges vient de trouver le miroir qui lui servait pour sa toilette, X, 182. Mme de Coulanges désigne sous ce nom la priucesse de Conti, X, 5oa.

Marguerite de Bourgogne, comtesse de Tonnerre, seconde femme de Charles de France, roi de Sicile et comte d’Anjou, X, 192, 197.

Marha, receveur du tabac, XI, 85.

Mariamne. Sa mort racontée par Josèphe, IV, 219.

Marie, une des femmes de Mme de Sévigné, II, 232 III, 83, 148; IV, 118, 121, i3o, i5o, 178, 229, 3a6 VI, 110, 4*4» 474, 523; VII, 379.

Marie, fille de Mme Paul, la veuve du jardinier de Livry, ni, 96 et 97.

Marie (la petite), V, 207.

Marie, princesse d’Orange, puis reine d’Angleterre, fille de Jacques II et femme de Guillaume III. Elle est comparée à Tullie elle donne sa procuration à son mari pour s’emparer en son nom du royaume d’Angleterre; mesures qu’elle prend pour le cas où il serait tué, VIII, 249. La -fausse nouvelle de son enlèvement doit faire rire,, VIII, 444.. Motifs qui ont déterminé le parlement d’Angleterre à mettre son mari plutôt qu’elle sur le trône, VIII, 471.– Le bruit court qu’elle est morte, X, 228. Ce bruit est confirmé, X, 229 et 23o; II- y a des parieurs qui soutiennent qu’elle n’est pas morte; son père décide qu’on ne portera pas son deuil, X, 233. Voyez Guillaume III.

Marie-Anne d’Autriche, reine d’Espagne. Voyez AîfHE-MARiE.

Marie-Anne de Neubourg, reine d’Espagne, seconde femme de Charles II, X, 412.

Marie-Anne-Victoire de Bavière. Voyez Dauphine (la).

Marie-Béatrix-Éléonore de Modène ou d’Esté, duchesse d’York, puis reine d’Angleterre, seconde femme de Jacques n, m, 242 VIII, 384, • 397, 43o, 436, 443, 461, 5it, &23 LX, 261, 282.-Son arrivée à Paris; visite que doit lui faire le Roi, III, 262. Honneurs qu’on lui rend; elle va, dit-on, partir, III, 264. Elle est très-malade de la dyssenterie, III, 276. Sa fuite d’Angleterre, avec le prince de Galles, sous la conduite de Lauzun; le Roi envoie ses carrosses au-devant d’elle on dit qu’il doit y aller