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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 53g

333. Elle plaisante sur la science médicale de sa fille, VI, g3 etg4, 97. Elle lui transmet des conseils du médecin Fagon, VI, i34 et i35, 206, a65 du médecin du Chesne, VI, 161, i85, a65 du frère Ange, VII, 264 et 26S. Sa fille l’a priée de chercher à obtenir la grâce d’un assassin, III, 34i, 35r et 35a, 385 et 386. Elle la blâme de vouloir refuser une cassolette que lui donne le cardinal de Retz, et lui envoie cette cassolette, III, 491 et 49î, 497 et 498, 507, 525 et 5a6 IV, 26, 81 et 8a, 123, rgS et 199, 487 et 488. Elle lui envoie son cuisinier, IV, 63. Elle l’engage à prendre à son service un maître d’hôtel de Pompone, VI, in. Elle fait ajuster à l’hôtel Carnavalet un appartement pour elle, VI, 5r, 83, 358, 359 et 36o, 36g, 378, 396, 3g8, 400, 406, 418, 45b, 465, 486, 505. Ce qu’elle dit d’un couplet que sa fille lui a envoyé, VI, 378- et 379. Elle montre des vers de sa fille, VII, 54. Elle lui envoie des Rochers des nouvelles de la cour qui la divertissent, VI, 55 1. Elle est ravie quand elle pense comme sa fille, VII, 4. Elle l’invite à ne pas quitter Livry pour lui faire des commissions à Paris, VII, 408, 410; elle la plaint d’être obligée de quitter Livry, VII, 415. Son rendezvous avec elle, à Bâville, chez Lamoignon, VII, 410. Elle remercie sa fille des peines qu’elle prend pour ses habits; sa fille sait mieux qu’elle s’il lui en faut un, VII, 4i5 et 416. Voyez Gbiokan (la

comtesse de), ci-dessus, p. 227- j 6 234.

Soir GEstMŒ Elle lui annonce que Mme de Grignan est accouchée d’une fille (MarieBlanche), II, i3-i6, 17, 21. Affection de son gendre pour elle, H, 21 III, aîa, 384. Son affection pour lui, II, 21, roz, i56, 570 et 271, 315, 549; III, 75, 244, 323,375, 407 et 408 VI, 37a VII, 38o; VIII, 347; IX, 146, 445.–Elle le tutoie, II, 238. Elle le compare à un hibou, II, 4i4, 4s8. Elle l’appelle le matou, IV, 137, 268. Elle le dit jaloux du petit marquis de Grignan, II, 427, 428. Elle lui donne des pincettes pour sa barbe, II, 5a3. Elle n’a pu encore avoir des motets qu’il lui avait demandés, II, 1, 11. Elle dit qu’il chante comme un ange, III, 85, 99. Elle lui envoie la Cour au lion, de la Fontaine, III, 408. Elle sait mieux aimer que lui, VI, 49 et 5o. Il lui donne une robe de chambre, IV, 427. Elle le plaisante sur ses prétendues maîtresses, V, 22J, 281. Elle n’est point jalouse de son affection pour sa fille, V, 257 et 258. Elle admire un billet qu’il a écrit à Mme de Coulanges, et prie sa fille de se servir de cette admiration pour la raccommoder avec lui, VI, i85 et 186, 216, 23g. Elle ne veut pas lui écrire parce qu’il écrit trop bien, IX, 4g8. Intérêt qu’elle prend à la santé du comte de Grignan, VII, 21, 43, 388, 409, 4n, 417, 437, 45g; IX, 175, ry8, 2o3, 243, 248, a55 et a56; X,

Mme de Sévigné.

Son gendre.