Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/177

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PAR] DE MADAME DE SÉVIGNE. 169

PARADIS.

Je ne veux pas surpasser la mère de Chantal, qui seroit proprement vouloir aller par delà paradis. (Autogr. VII, 217.)

Un d’Aigremont tué sur-le-champ; le fils de Bussy, qui vouloit aller par delà paradis, prisonnier. (V, 6g.)

PARAÎTRE, voyez Paroître.

PARAPHRASE.

Je vous dis le fait sans aucune paraphrase. (1725, IV, 4^4-) PARCOURIR.

Parcourant toute la vie de cette princesse avec une adresse incroyable, passant tous les endroits délicats, disant etnedisantpas tout ce qu’il falloit dire ou taire. (Gr. VI, 353.)

11 est question de l’oraison funèbre de Mme de Longueville par l’évêque d’Autun.

PAREIL.

A LA PAHEILLE

Nous devons nous aimer à la pareille. (B. III, 68.)

Je prends une part sensible à tout ce qui la touche [Mme de Colignj), et son cher père par conséquent; mais à la pareille plaignezmoi d’avoir perdu le cardinal de Retz. (B. V, 56a.)

Vousvousmoquerezde moi, comme je prends quelquefois la liberté de me moquer de vous; il faut nous excuser à la pareille. (VI, 5ig.) PARER.

II (le duc de Saint-jiignan) avoit un air et une manière qui paroit la cour. (B. VUI, 63.)

Je vois d’ici. votre clocher que vous avezparé d’une balustrade qui doit faire un très-bel effet. (VI, 545.)

Il (Ch. de Sévigné) a fait parer, comme on dit ici (en Bretagne), ses grandes allées. (IX, an.)

SE pabeb.

JN ous la considérâmes (votre lettre) comme une pièce digne d’être gardée, pour s’en parer dans de pareilles occasions. (Gr. V, 106.) PARESSE.

Je n’ai point reçu de vos lettres. et quoique.je sois assurée. que