INTRODUCTION, 22% nous IXQZIVOIIS laits qu’en partie et qui auraient empêché que d’assez longtemps encore elle pût voir le jour. La publication d`une édition générale, à laquelle le nouveau manuscrit aurait servi de base , était chose bien plus impossible encore à réaliser à bref délai. lfexemple de M. Monmerqué était un avertissement trop récent et parlait trop haut pour ne pas être écouté; il devait suffire pour nous iempêoher de nous charger témérairement, à courte échéance, d'une en- treprise qui aurait entièrement dépassé nos forces. ‘ Nous avons dû restreindre nos projets, et nous bor- ner, pour le présent, à faire connaître exactement le manuscrit et les services qu°on peut en attendre, et à publier les parties inédites qu'il renferme, en un mot., à donner, non une édition nouvelle, mais un complé- ment pour les éditions déjà existantes. Il nous en a coûté d'autant moins de renoncer à de plus grands desseins, qu`il nous a semblé que notre pu- blication , réduite aux proportions que nous avons été obligé de lui donner, avait sa raison d’être et trouverait en elle-même sa justification. u _ N°était-il pas juste, en eflet, pour ces parties inédites, dont tout le monde reconnaîtra Fimportance , de leur donner une publicité séparée, avant de les réunir aux parties. déjà connues, qu`elles sont destinées à complé- ter, et qulelles serviront aussi souvent à éclaircir ? Con-· fondues du premier coup avec ces dernières, elles au- I raient paru vouloir se dérober à un controle aussi convenable que nécessaire; publiées séparément, elles
