Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/368

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352 LETTRES INÉDITES ————- ne MADAME. DE ssxzmf". 16qS · i I:. D`€Sl· pas juste, ma belle, que vous tfentendiez _ pas parler de moi, passant depuis quinze jours ma vie J, · · avec Mme de Sévigné. Je soupe et couche tous les soirs chez elle. Vous croyez bien que je suis 1:rès-con—- tente de faire une telle vie, et que je souhaite fort que · les macons qui travaillent chez moi y demeurent jus- qu`à cc qu‘elle s`en aille“. Nous parlons de vous très-· J souvent; vous n'au1·ez pas cle peine à le croire. ' : - 1 1 ' I • ° 'U J°a1 éte fort occupec de votre Joli enfantw, et _) ap- prends avec beaucoup de joie qu°il se porte bien. Ten aurai encore beaucoup, ma très-belle cousine, si vous vous souvenez toujours un peu de moi. Je vous aime · très-tendrement, et j’espêre par là que vous aurez un I peu d um1t1e pour 11101. e un JIADAME nn SÉVIGNÉ. La bonne Sanzei a fort bien planté là son petit dis- cours. Le Coadjuteur a vu les Bellièvre; nous espérons Q \ I ' I O que tout s achevera : Je l°a1 empêche. de vous écrire. Je vous embrasse, ma très—chère enfant. I ng:. Voyez plus haut la note 13 de la lettre ir. 28. Mme de Sévi é devait, arti: rochainement our la Bre- _ En .P P P . tagne; ag. Le jeune marquis de Grignan, dont la santé avait récemment inspiré de l’inquiétu•:le à ses parents; voyez le 3** alinéa de la lettre imprimée (III, 502). _ ‘