Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/395

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DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 379 sem bien abandonnée; ne pouvezwous point la IDCDQT ,6,,5 avec vous ? I e compiends que le Coadjuteur vous eût été bon a Paris. Si j°y étois, je tâclieroîs de vous rendre quelque service, et de 11`être pas prise pour dupe, une seconde fois, pour votre bomrse.“, par le respect et la confiance que favois pour le mérite et l'aH`ection de cet homme qui se paye si bien par ses mains. Comme ce fut par ' ma sottise, feu suis encore un peu plus émue : ge 116 Saurois miaccommoder de ces tours-là. Je vous assure que d`Ha1cqueville fem tout ce que vous pouvez desirer, et auprès de M. de Pompone, quand même vous ne voudrez point lui écrire', et auprès de celui qui a pre- Sentement le trésor royals. Je ne pense point encore au voyage de Paris, quoique j`aie de Yimpntîeuce de me remettre sur les voies du vilain Mirepoix, et que j’ose vous répondre qu’1l ne s’e- ohapperu pas de mes mains. J e ne puis commencer cette I chasses qu°après Noël; on ne fait nulle aiïaire qu’au mois de novembre, et c`cs|; dans ce temps que j`attends les deux hommes à qui·_j'ai eflîure, précisément". Ne soyez point en peine de ma santé;) elle est trèsdnonne ; je vou—- drois que la vôtre fût aussi bien. Je ne me promène qu`avec bonne oonapagnie, et même plus grande que vous ne voulez; car vous ne vouleë que Rencontre 1*, Gt 6. C’est—à·-dire, au préjudice de votre bourse. 7- C’8SlL··à—dîI‘E, (IRHS IGS CHS où VOUS Di! voudrez PRS VOIlS•lDêm.E écrire à M. de Pompone; voyez la. lettre suivante, note 1.1. 8. Colbert, contrôleur général des finances,. g. Voyez le commencement. de la lettre 416, du. 1:: juillet pre- cedent (III, 513 et 514). ‘ zo. C’est—à—dîre, et o’est précisément dans ce temps quefabtends les deux hommes à qui fai affhire. 11. Domestique de Mme de Sévigné; voyez la lettre ;·58, note 2 (VI, 118), et la lettre 815, note lâ VI. 428).-