Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/400

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

‘?>S4 LETTRES INÉDITES 16,,5 QI. —-· DE MADAME DE SÈVIGNÉ I A MADAME DE GRIGNAK i. Aux Rochers, dimanche ro° novembre.

  • JE Il 81 POIDÈ `PGQU (lt VOS l€l.l.I‘€S CCL OT(l.lIl.îlll'8*; JG

ne sais pas si c'est que le courrier les laisse, comme il • • • • r 1 fait qlI€lq\1€fOlS, OU Sill. est BJTIVC [POP l'«3.I‘d POU? (Ill OH les ait pu mettre le mercredi à la poste de Bretagne; enfin je pense IZOUIL, plutôt que de I)€l1S(è1` que Vous ne 7 tlfayez pas ecrit 1 jial S\1l‘ cela une extrême Confiance. D’Hacqueville me mande’ que Monsieur de Marseille enfin s°est résolu d’écrire nettement à M. de Pompone, Lmrnta rit (fragments inédits et passages restitués). —— 1. Ces fragments font partie dela lettre 466 (IV, 22:); la lettre entière se trouve dans notre manuscrit, tome II, pages x76 et suivantes; le Grosbois en renferme des extraits, que les derniers éditeurs ont mis à profit, et qui leur ont fourni quelques passages inédits. Le plus important de ees passages se trouve déformé, en un endroit, par une sotte addition du copiste, mise sans doute d’ab0rd par mégarde, et qu’il ne s’cst pas donné ensuite la peine d'effacer. Ce passage est celui auquel se rapporte la note g de la lettre imprimée; il doit être lu ainsi : «J‘ai la parole d’un des plus honnêtes hommes du monde; sans le nommer, c’est celui qui donne, etc. in, et non : «  sans le nommer, c’est,le nornmer, etc. >> Les mots : « c’estuIe nommcrn, ne se trouvent pas dans notre ngamuscrit, et nomseulement ils ne sont pas nécessaires, mais, à la place qu’ils occupent, ils n’ont pas de sens, et il n’est pas douteux qu’ils n’aient été ajoutés par le copiste : quelques additions de ce genre sont tout ce que le Grosbois contient de plus que notre manuscrit; voyez Plnlmductimz, pages 157 et suivantes. 2. Ce passage et bien d’autres (voyez la lettre précédente, 2** avant-dernier alinéa) montrent que Mme de Sévigné xfavait pas attendu jusqu’au NP janvier 1676., comme Pavztit cru M. VValcke· mer (ülémoîms, tome V , page 33:), pour instruire sa fille et son gendre des services 0ue leur rendait M. de Pompone.