Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/58

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42 INTRODUCTION. elle nous l`Oll1‘IllI‘il plus tard le moyen de lever, au moins en partie, le voile qui couvre leur origine. Les impressions dont nous voulons parler, les seules i on nousa*'ons icià enir com e son ce es ue nous d 1; ) t pt , t ll q avons déjà mentionnées plus haut, savoir, l’édition de Troyes de 1725, la première édition de Rouen de 1726, l’édition de la Have de la même année, et enfin les 1 deux éditions du clievalier Marius de Perrin publiées en 1734-1·;3y et 1y54‘. Existe-t-il entre ces premières impressions, ou quel- qu`une d°ent1·e elles, et les deux manuscrits nous ocoupeutun rapport direct de filiation, semblable à celui que nous avons constaté entre ces derniers? Les deux manuscrits, ou au moins l’un des deux, a-t-il servi de base à quelqulune de ces anciennes éditions et peut-il en être considéré comme la source ? M. Monmerqué, dans la première joie de sa décou- verte, l’avait cru pour le Grosbois. Dans Favertissement placé en tête du recueil de lettres inédites, -·-— extraites la plupart de ce manuscrit, —— publié en 182y, il s`ex- primait en edet ainsi : cc Il est probable que ce manuscrit (le Grosbois) est celui que l’abbé de Bussy avait envoyé à son frère, et que c’est le ; même volume qui. s'étaut égaré après la mort de ce dernier, fut donné par M. de Clémence à l'abbé d’Amfreville. Il aura servi pour les éditions de 1726, et il sera ensuite tombé en la possession des auteurs de M. le marquis de Grosbois, qui habitaient la Bourgogne Z. » ·. 1. Voyez, sur toutes ces éditions, la Notice biblîograplzîqzrr qui ac-· compagne la Table générale des sources, tome XI,p. 434 et suivantes. si. Lettres inédites de Mme de Sévigné, Paris, Blaise, 1827, p. VIII.