Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/60

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A5 INTRODUCTION. et M. Moumerqué pensait maintenant (en 1827), on I’a vu plus haut, qu°une seule et même copie avait servi de base aux deux éditions de ryaô, et que cette copie 11'était autre précisément que le volume conservé dans la bibliothèque du château de Grosbois. Dans la dernière édition, publiée sous le nom de M. Monmerqué, par les soins et sous la savante direc- tion de M. Adolphe Plegnier, —dans l`édition des Grands ‘ x f 5 · J • ecrzsuzzns de la France, ——— ces coujectures ont suln de nouvelles modiiications : <c Il se pourrait, —- porte la nouvelle Notice bibliographi- que, placée à la suite de la T able générale des sources, — que ce manuscrit (le Grosbois) fût, nous ne disons pas l’original du choix de lettres et Jextraits que Balme de Simiane avait fait faire pour son cousin le comte de Bussy, mais une des copies prises sur ce choix. Au reste, en supposant même qu’il n’y eût eu qu'un seul choix original, et que toutes les copies, ce qui est difficile Iz croire, fussent à peu près identiques avec 1 ce choix, les di(i`éren,ces’qui se remarquent, quant à l'ordre et à d’autres égards, entre cet ancien texte écrit et les pre- mières impressions pourraient bien être le fait des éditeurs; et si le nombre des morceaux n'est pas le_ même, s’il y a dans le manuscrit comparé aux imprimés quelques petites lacunes, et des lacunes bien plus grandes dans les imprimés comparés au manuscrit, cela peut venir de ce que d’une part le copiste et de l'autrc les éditeurs 11'ont pas tout pris et ont fait des ' omissions, l'un plus, l'autre moinsk >> · Ici, on n’est plus, à beaucoup près, aussi aflirmatif; , ' l V • . S1 on I1 abandonne pas completement les c0n_]ectures de M. Monmerqué, on indique sufhsamment qu’on y a 1. Tome XI, p. 431 et .132. I