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LETTRE XXIX.


Le chevalier de Meilcourt à Déterville[1].


Rennes, ce 12 octobre.



Je désirerai, mon cher Déterville, pouvoir répondre, et plus au long, et d’une manière plus satisfaisante, à la lettre que vous m’avez fait l’amitié de m’écrire, mais enchaîné par des considérations dont je dépends essentiellement, je ne puis vous donner sur l’objet de vos demandes d’autres lumières que celles qui sont contenues dans le peu de lignes que vous allez lire.

Élisabeth de Kerneuil, douée de tous les

  1. Cette lettre-ci était incluse dans la suivante.