Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/323

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tit qu’un homme à cheval demandait, avec empressement, à me parler. Je vole où l’on me dit qu’il est, le cœur palpitant d’effroi, je trouve un inconnu qui me rend à l’instant un paquet de lettres ;… j’ouvre avec précipitation,… j’interroge,… je lis sans comprendre, je reconnais enfin l’écriture d’Aline, précédée d’un journal exact de Julie. Je t’envoie le tout,… lis, Valcour, et respire, si tu le peux, jusqu’à la dernière ligne.