Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/390

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tendresse que tu ne dois plus à celui qui abjure, de ce moment-ci, pour jamais, tout ce qui peut lui rappeller un monde la main féroce du destin ne le plongeât que pour les larmes.


NOTE DE L’ÉDITEUR.




La correspondance cessant ici, il nous devenait très-difficile de transmettre au lecteur la suite de cette histoire ; mais l’extrême envie que nous avons de lui plaire, l’intérêt que nous lui supposons pour les personnages avec lesquels il vient de vivre, les ressources qui nous ont été fournies par monsieur Déterville, nous ont mis à même de donner quelques éclaircissemens dont nous espérons qu’on nous saura gré.

Le deux mai, vers le soir, le corps