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CAHIERS PERSONNELS


avoue qu’elle a un galant ; elle lui nomme[1] le prieur du couvent qui réellement était amoureux de cette femme. Pour faire consommer le crime projeté par le confesseur, celui-ci a l’air de céder sa maîtresse un soir à son prieur. Il vient au rendez-vous ; le mari l’assassine ; le confesseur fait poursuivre ; le mari se sauve et le confesseur reste en possession de la femme.


[i.]
L’Âne sacristain

ou le Jugement de Salomon
(Crimes de l’amour,

à faire, sans érotisme).

Une idem pour aller sous la Comtesse de Sancerre. Sans érotisme. — Un seigneur du château tenait rigoureusement à ce que tout le monde s’occupât dans sa maison, à ce que tous les domestiques et toutes les bêtes fussent scrupuleusement employés. Le matin il distribuait la besogne et grondait fort quand quelque chose manquait. Il s’aperçoit un jour que Jean, dont le devoir était d’aller tous les matins chercher de l’eau à la rivière avec un âne, ne remplissait pas sa besogne. Il demande où

  1. (Note de l’éd.)