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quant à moi, commande, ma mie, je suis à tes ordres. Échauffée de ce que j’avais vu faire à Volmar, je veux t’enculer, dis-je, avec ce godmiché ; fais, ma bonne, fais, me répond humblement Delbène, en se présentant à mes coups, voilà mon cul, je te le livre ; eh bien ! dis-je, en sodomisant mon institutrice, puisque le groupe doit s’arranger sur moi, qu’il commence tout de suite. Chère Volmar, continuai-je, que ton clitoris rende à mon cul ce que je fais à celui de Delbène, tu ne saurais croire à quel point mon tempérament s’irrite de cette manière de jouir ; de chacune de mes mains, je voudrais branler Elisabeth et Ste.-Elme pendant que je sucerais le con de Flavie ; les ordres de la supérieure étant de m’épuiser, je n’eus la peine de rien dire, les situations varièrent sept fois, et sept fois mon foutre coula dans leurs bras.

Les plaisirs de la table succédèrent à ceux de l’amour : une superbe collation nous attendait ; différentes sortes de vins ou de liqueurs ayant vivement échauffées nos têtes, on se remit au libertinage ; trois groupes se dessinèrent. Ste.-Elme, Delbène et Volmar, comme les plus âgées, se choisirent chacune