Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/203

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pondait à un trou qu’on ouvrait dans la chambre supérieure ; la fille enfermée avec l’homme en question n’avait d’autre emploi que de le branler, et moi, placée au-dessus, je devais en faire autant à un autre homme, le trou très obscurément placé, se trouvait ouvert comme par négligeance et moi, comme par propreté et pour ne point gâter le parquet, je devais en manualisant mon homme faire tous les foutres dans ce trou et par conséquence sur le visage de l’autre qui répondait exactement à cette ouverture ; tout était construit avec tant d’art, que rien ne paraissait et l’opération réussissait au mieux. Au moment où le patient recevait sur son nez le foutre de celui qu’on branlait au-dessus, il y joignait le sien et tout était dit. — Cependant[35] la vieille dont je viens de vous parler tout à l’heure reparut, mais elle devait avoir affaire à un autre champion, celui, un homme d’environ 40 ans, la fit mettre nue et la lécha ensuite dans tous les orifices de son vieux cadavre, cul, con, bouche, narine, aisselle, oreille, rien ne fut oublié et à chaque sucée le vilain avalait ce qu’il recueillait, il ne s’en tint pas là, il la fit marcher de branches, de pâtisseries, qu’il avala dans sa bouche même sitôt qu’elle les eut broyées, il la fit garder dans sa bouche longtemps des gorges de vin dont elle se lava, dont elle se gargarisa et qu’il avala de même, et son vit pendant tout ce temps-là était dans une si prodigieuse érection que le foutre paraissait prêt à s’échapper sans qu’il eût besoin de le provoquer. Il le sentit enfin prêt à partir et se reprécipitant sur la vieille, il lui enfonça la langue dans le trou du cul au mieux d’un pied et déchargea comme un furieux. — „Eh sacré Dieu,“ dit Curval, „est-il