Page:Sade - Les crimes de l'amour, Nouvelles héroïques et tragiques, tome 1, 1799.djvu/283

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fin la mort de celle qu’il aimait, il la pleura le reste de ses jours ; il ne voulut jamais se marier, et n’employa ses biens qu’aux plus saints actes de la bienfaisance et de l’humanité ; il mourut jeune, regretté de ses amis, et donna par cette fin désastreuse et prématurée, le cruel exemple que le plus doux bonheur de l’homme… la société d’une femme qui lui convienne, peut le fuir, même de l’opulence et de la vertu.



Fin du tome premier.