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À LA PRINCESSE
mander à Lescure ne soit encore sur cette éternelle Marie-Antoinette. Nous le saurons.
Je mets à vos pieds, Princesse, l’hommage de mon respectueux et bien tendre attachement.
P.-S. — Je reçois de Gavarni le mot ci-joint qui montre qu’au moins il apprécie celle qu’il avait trouvée du premier jour si… diantrement séduisante[1]. Quel dommage que de tels hommes s’immobilisent et s’inutilisent avant l’heure !
J’attends la visite de M. de Seilhac pour ce matin. Il me demandera sans doute comment la famille Morère pourra avoir l’honneur de vous porter l’expression de sa gratitude.
- ↑ « Ah ! c’est une fière femme !
» Merci ! — J’ai vu hier M. de Seilhac. — Je n’avais pas reçu votre billet. — Vous l’aurez vu aujourd’hui.
» Mille bonnes amitiés.
» gavarni. »