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À LA PRINCESSE

quelque quart d’heure. — La Grèce est déjà un beau champ de bataille. — En voici un autre. — La Grèce surtout me préoccupe et me tient à cœur. Que je voudrais être assez savant et assez maître des sources pour vous persuader ! Ici je suis en pleine conviction.

Agréez, Princesse, l’expression de mon respectueux attachement.


Je reçois en même temps que la lettre une pétition adressée à Votre Altesse, et dont je ne m’explique pas l’envoi : il doit y avoir quelque malentendu.


LXVI


Ce jeudi 17.
Princesse,

J’ai oublié, hier, de vous apporter le volume dont M. Rousset m’avait chargé pour Votre Altesse impériale et qui vous est dû à tant de titres. Je répare cet oubli.

Je ne vous ai pas assez remerciée, non plus,