Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 1.djvu/292

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

était plus propre à cultiver l’idéal poétique, elle devait bientôt trouver en lui une aptitude plus prononcée à la sagesse et à la science sociale.

Il arriva donc qu’en se jouant, Évenor et Leucippe retrouvèrent une langue qui leur était commune et que la dive n’entendait pas. Un jour, elle fut surprise de les entendre converser ensemble, et son front soucieux trahit une jalousie et une inquiétude maternelles. Mais elle se re-