Page:Sand - La Coupe, Lupo Liverani, Garnier, Le Contrebandier, La Rêverie à Paris, 1876.djvu/126

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son esprit lui disait tout bas : « Allons, viens ! — Oui, partons ! » s’écria la fée. Et, se penchant vers elle, elle sentit son âme s’exhaler et se mêler doucement, dans un baiser maternel, à l’âme pure de l’enfant. Hermann fit la tombe plus grande et les y déposa toutes deux. Durant la nuit, une main invisible y écrivit ces mots : « La mort, c’est l’espérance. »