Page:Sand - La Petite Fadette, Calmann-Lévy.djvu/236

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XXV


Mais qui la voyait souvent et faisait grande attention à elle, c’était Landry Barbeau. Il en était comme enragé en lui-même, quand il ne pouvait lui parler à son aise ; mais sitôt qu’il se trouvait un moment avec elle, il était apaisé et content de lui, parce qu’elle lui enseignait la raison et le consolait dans toutes ses idées. Elle jouait avec lui un petit jeu qui était peut-être entaché d’un peu de coquetterie ; du moins, il le pensait quelquefois ; mais comme son motif était l’honnêteté, et qu’elle ne voulait point de son amour, à moins qu’il n’eût bien tourné et retourné la chose dans son esprit, il n’avait