Page:Sand - Les Deux Freres.djvu/269

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décidés, au dernier moment, à accompagner madame de Flamarande et Roger jusqu’au chemin de fer. Ils déjeuneront certainement ensemble en rentrant ici. Moi, je ne peux pas rester plus longtemps sans travailler. Venez ; si vous êtes las, nous déjeunerons dans quelque buron de la traverse. Vous paraissez faible, prenez mon bras. La force va vous revenir ; il ne s’agit que de vouloir… Allons, Charles, la volonté est tout !