C’est raisonnable et gentil comme tout… Mais, un jour de fête, avec un tas de flâneurs !
C’est bien vu, vous avez pas tort, y en manque pas, des flâneurs ! Et comme ça, vous voulez pas que son frère la voie ?
Si fait ; mais je ne voudrais pas le trouver… vous m’entendez ?
Hors de raison ? Il y est pas, il y est même pas souvent, on peut dire.
On m’a pourtant dit…
Croyez ce que je vous dis, moi, grand’Jeanne. Vous cousin est pas un ivrogne ; c’est un homme superbe pour porter le vin, et le jeu, et le bruit, et la fatigue ; si il voulait pas tant courir après les femmes… Mais, dame ! de ce côté-là, c’est un homme ben périlleux !
C’est pour ça que je ne voudrais pas que sa sœur le surprenne en mauvaise compagnie,
Y a pas de danger aujourd’hui.
J’aurais cru le contraire.
Je vous dis qu’il y en a pas ! Jeanne, vous connaissez pas le Jean, ou bien vous le connaissez plus.
Alors, expliquez-moi…
C’est bien aisé. Votre cousin ne se fait voir avec les drôlesses