Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/125

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acquiesça à cette tentative. Mon pauvre père en mourut, emportant le regret de n’avoir jamais pu s’installer dans aucune des positions où les préjugés des hommes et les intérêts des femmes l’avaient alternativement poursuivi.

« Vous voyez, poursuivit Firenzuola, qu’une destinée bizarre et fatale s’est appesantie sur ma maison. Ma mère et moi, nous traînâmes durant quelques années une existence misérable. La vente du corps de mon père, que les médecins avaient voulu examiner comme un phénomène, lui avait rapporté une cinquantaine de francs au moyen desquels nous nous