Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/25

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« — Femme charmante, dit à voix basse l’administrateur, que tes scrupules sont ravissans !

« — L’imbécille, murmura la comédienne en haussant les épaules. »

Pendant que la vertu de mademoiselle Primerose offrait le rempart de convenance aux attaques du fonctionnaire économe, la petite nièce courait au-devant de la voiture, et d’un air amical et moqueur, s’était emparé du bras de la novice. Celle-ci, douce et craintive, se laissa entraîner, et lorsqu’elles eurent gagné le revers d’un buisson, ne se