Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/45

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siez un vieillard… s’il a de la religion, il pourra vous rendre heureuse.

« — Allons ! elle ne me comprend pas. La volonté de Dieu ! elle est jolie, la volonté de Dieu ! S’il y en avait un, souffrirait-il qu’une pauvre malheureuse comme moi fût traînée dans le ruisseau ? Et vous, vous allez donc vous faire religieuse ?

« — Hélas ! pas encore : je ne pourrai faire de vœux qu’à vingt-un ans ; mais en attendant, je porte l’habit et je fais le service des malades.

« — Pouah !… cela doit être affreux.