Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/60

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du théâtre et le fard des actrices, c’est un caprice d’imagination par trop fantastique.

« — Ah ! fantastique est bien ! Ô mon sublime et romantique ami ! donne-moi ton âme de vapeur, ton char de fumée, ton cerveau de brouillard, la nuée que tu chevauches et le manteau de rosée qui te sert de gilet de flanelle, pour que je m’élève avec toi dans les régions éthérées de l’inintelligible et intellectuel fantastique !

« — Animal, que tu m’ennuies ? j’ai consenti à t’accompagner, vois-tu ? J’ai bien voulu, pour t’empêcher