Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/65

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et les sentiers fleuris de la destinée m’ont reçu jeune et riche, ardent et audacieux, parcourant d’un vol d’aigle… Tiens ! en voilà un qui passe ! non, c’est un choucas… donne ton fusil…

« — Non, laisse-le tranquille : tu lui ferais peur, à quoi bon ?

« — C’est pardieu bien possible, ce que tu dis-là… Reprenons notre discours… Que disais-je ?

« — Je n’en sais rien, je n’ai pas écouté un mot. J’ai de ton esprit railleur dix pieds par-dessus la tête. Mais dis-moi donc, Horace, toi qui