Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/8

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« — On ne vous donne pas seulement le temps de lâcher de l’eau, s’écria la nonne en grimpant sur l’impériale.

« — Si ça ne fait pas horreur, un ton comme ça ! dit une comédienne en se penchant à la portière de la rotonde.

« — Tiens ! elle a la jambe solide ! dit un officier qui était dans le coupé, et qui voyait la sœur de charité escalader avec hardiesse l’édifice de la diligence. »

La religieuse s’assit dans le cabrio-