Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/94

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laide. La pièce venait de finir : Horace ne put résister à l’envie d’arracher la perruque vénérable, et de voir le vieillard en longs cheveux noirs. Il se préparait même à pousser plus loin ses investigations, en tirant les manches d’un habit pailleté dont l’ampleur se prêtait peu à une longue résistance, lorsque la respectable tante, Mlle Primerose, qui venait de remplir le rôle de cuisinière dans les Rendez-vous bourgeois, vint au secours de la pauvre Rose. Elle feignit de se trouver mal, d’être en colère, au désespoir ; puis elle se calma en voyant la mine cavalière, les manières franches, la riche chaîne d’or