Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/77

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Ô gendarme trop combustible ! dit-il, tu as un merveilleux tact pour deviner les femmes comme il faut. N’est-il pas vrai que rien de ce que nous voyons dans le département de Lot-et-Garonne ne peut se comparer à l’élégante Parisienne ? C’est, comme nous disons dans notre état, un certain chic, que le vulgaire ne remarque pas, mais que le véritable connaisseur saisit du premier coup d’œil.

Tu connais cette charmante personne, dit Lespinasse, bien plus occupé déjà du joli minois de Rose que de la protection de l’archevêque.

Parbleu, certainement, elle est de