Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/104

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pour moi, répondit Rose, qui avait appris cette phrase dans quelque comédie classique. Je vous dois tout, ajouta-t-elle ; partout, je penserai à vous et à M. Cazalès.

« — Puisque nous allons nous séparer, ma chère enfant, dit mademoiselle Cazalès, écoutez les conseils de mon amitié. Vous allez entrer dans une sainte maison ; vous y serez accueillie avec indulgence et charité. Montrez-vous-en toujours digne, et pour cela évitez de contrarier les principes austères des personnes pures qui vous admettent dans leur sein. Évitez tout retour de parole et de pensée sur votre an-